Une année difficile, qui n’a pas aidé la situation de certains acteurs du milieu de la sneakers. Qui sont les grands perdants de cette année à vite oublier ?

1- Les shops indépendants

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Moins de marchandises produites suit à l’arrêt des usines Chinoises à cause du COVID, conditions d’accès à certaines marques, dont Nike, de plus en plus drastiques, et confinements multiples faisant dériver les acheteurs vers le web, voilà trois des facteurs qui n’ont pas aidé les revendeurs indépendants.

Les temps sont durs, et c’est général. Certains revendeurs historiques de Nike, même aux Etats-Unis, ont vu leur accès à la marque s’arrêter, et en combinant avec la diminution de la clientèle dans les magasins « physiques », on peut s’attendre à un tsunami de fermetures en 2021.

2- Reebok

Une belle marque à vendre, qui en veut ?

Une quinzaine d’année après avoir été rachetée par adidas, la marque Anglaise est à nouveau à vendre. Et c’est dommage. Adidas n’a jamais su (ou voulu ?) la mettre en valeur comme elle le méritait, et elle a probablement perdu de la valeur dans l’histoire.

Si l’on espère un vrai rebond de Reebok, on attend encore de connaître l’identité de son futur acquéreur. Shaquille O’Neal avait fait part de son envie de reprendre la marque il y a quelques temps, mais des groupes Chinois, entre autres, seraient aussi sur les rangs. A suivre, en 2021 !

3- FILA

Un petit tour et puis s’en va….

La marque a explosé en 2019, avec notamment la Disruptor, qui se vendait comme des petits pains. Malheureusement, elle n’a pas réussi à capitaliser sur ce succès, et a déjà commencé à disparaître de nombreux revendeurs. Une chute dommageable, car la marque, historique, a un vrai catalogue avec des archives incroyables, mais c’était trop d’un seul coup, et les clients se sont très vite lassés.

La marque va repartir dans un semi-anonymat en Europe, jusqu’à son prochain gros coup.